dont la nouvelle version remplace “profit” par « prosperity », pour mettre en avant la création de valeur économique, social et environnemental et leur soutenabilité.

La règle qui vérifie que les innovations ont un réel impact positif, en s’assurant qu’elles répondent aux besoins des utilisateurs.

Méthode d’évaluation environnementale examinant les impacts d’un produit, processus ou service de sa création à sa fin de vie. Elle évalue les étapes telles que l’extraction des matières premières, la fabrication, la distribution, l’utilisation, et l’élimination ou le recyclage.

Label B-Corp (pour Benefit Corporation), lancé en 2006 aux États-Unis, certifiant des entreprises avec un impact sociétal et environnemental positif.

Principe consistant à intégrer les enjeux environnementaux, sociaux et économique dès la conception de bien ou services. Elle reprend les concepts d’éco-conception pour les appliquer au développement durable (ou 3P).

Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) en français, se concentre sur les initiatives et les pratiques mises en œuvre par une entreprise pour contribuer positivement à la société et à l’environnement, tout en respectant les obligations légales.

Son objectif principal est l’harmonisation des rapports extra-financiers, en établissant un socle commun d’indicateurs et une méthodologie standardisée. Pour ce faire, la CSRD impose des exigences de reporting rigoureuses, mais elle définit aussi des seuils précis pour déterminer quelles entreprises doivent s’y conformer. 

Règlement sur les marchés numériques, qui entend prévenir les abus de position dominante des géants du numérique, que sont en particulier les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft), et offrir un plus grand choix aux consommateurs européens.

Règlement sur les services numériques, qui prévoit de lutter contre les contenus et produits illégaux en ligne (haine, désinformation, contrefaçons…). L’objectif est de faire d’internet un espace plus sûr pour les utilisateurs. Avec ce texte, « ce qui est illégal dans le monde physique le sera aussi en ligne ».

Entité au sein d’une organisation ou d’une entreprise chargée de la gestion et de la supervision de l’informatique, des technologies de l’information et des systèmes d’information.

Principe consistant à intégrer la protection de l’environnement dès la conception des biens ou services. L’objectif étant de réduire les impacts environnementaux des produits tout au long de leur cycle de vie. 

acronyme faisant référence aux pratiques et politiques de trois domaines clés en matière de responsabilité sociale et environnementale liés aux entreprises : l’environnement (réduction des émissions de GES, gestion des déchets, efficacité énergétique…), social (accessibilité, droits des travailleurs, diversité, inclusion, santé et sécurité au travail…) et gouvernance (transparence, reddition de comptes, indépendance du conseil d’administration…). Cette approche est utilisée pour évaluer la performance extra-financière d’une entreprise.

Modèle économique et social équilibré, intégrant des considérations économiques et sociales. Elle rassemble diverses entreprises (coopératives, mutuelles, associations, fondations) poursuivant des objectifs économiques et sociaux, avec une emphase sur la solidarité, la durabilité, et la responsabilité sociale.

Contraction de Finance et Technologie. Ce terme est souvent utilisé pour qualifier une entreprise qui développe une technologie numérique innovante pour optimiser un service financier.

Contraction de « Financial Operations » (opérations financières) qui se réfère à une pratique visant à aligner les équipes financières, les équipes opérationnelles et les équipes informatiques dans le but de mieux comprendre, gérer et optimiser les coûts liés à l’informatique dans une entreprise, en particulier dans le contexte du cloud computing.

Gaz présents dans l’atmosphère, tels que le dioxyde de carbone (CO₂) et le méthane (CH₄), qui retiennent la chaleur émise par la Terre, contribuant ainsi au réchauffement climatique.

Contraction de “Green Operations”, pratiques opérationnelles axées sur la durabilité environnementale, visant à réduire l’empreinte carbone et à promouvoir des opérations respectueuses de l’environnement, surtout dans le contexte des technologies.

Technologie capable de créer du contenu nouveau (texte, images, musique, etc.) à partir de modèles entraînés sur de grandes quantités de données, en imitant des formes créatives humaines pour générer des résultats originaux qui répondent à des demandes spécifiques, comme des œuvres d’art ou des réponses à des questions.

difficulté voire incapacité à utiliser les appareils numériques ou informatiques.

Signifie que les technologies de l’information sont utilisées dans le but de promouvoir des pratiques respectueuses de l’environnement. Il s’agit de tirer parti des outils informatiques et des solutions technologiques pour contribuer à la durabilité, à la réduction de l’empreinte carbone et à d’autres initiatives écologiques.

Approche d’investissement qui intègre des considérations sociales et environnementales, en plus des aspects financiers. Les investisseurs ISR sélectionnent des placements (actions, obligations, fonds communs) selon des critères ESG (Environnement, Social, Gouvernance), visant à générer un impact positif sur le plan social et environnemental tout en obtenant un rendement financier.

Démarche visant à améliorer l’empreinte écologique, économique et sociale du numérique. L’idée n’étant pas de cesser d’utiliser les technologies qui permettent de développer nos activités, mais d’adopter un usage et une conception responsable des services numériques.

Logiciel de taille surdimensionnée pour offrir toujours plus de service.

Buts non directement liés à la performance économique, portant sur des enjeux sociaux, environnementaux ou de gouvernance (ESG). Ils sont souvent qualitatifs, mais peuvent être mesurés par des indicateurs spécifiques (ex. : empreinte carbone, inclusion, bien-être au travail).

Objectifs précis et chiffrés liés à la performance économique (ex. : rentabilité, chiffre d’affaires). Ils guident la stratégie pour atteindre des résultats financiers définis.

En français l’Empreinte Carbone d’un Produit, est la mesure de la quantité totale d’émissions de gaz à effet de serre générées tout au long du cycle de vie d’un produit, depuis sa fabrication jusqu’à son utilisation et sa fin de vie.

Rapport émis par une organisation, offrant une transparence sur ses performances en RSE et développement durable. Couvrant les aspects économiques, environnementaux et sociaux, il inclut des données financières, des indicateurs, des informations sur la gouvernance, l’engagement des parties prenantes, ainsi que les objectifs de durabilité.

Communication des performances d’une entreprise en matière d’Environnement, de Social et de Gouvernance. Ce cadre d’évaluation comprend la collecte, la mesure, la gestion et la divulgation d’informations sur les actions environnementales, les pratiques sociales, et la gouvernance d’entreprise. Le reporting ESG englobe des domaines tels que les émissions de gaz à effet de serre, les conditions de travail, la composition du conseil d’administration, et vise à fournir des données objectives et mesurables. 

Ressources non vivantes se trouvant naturellement dans l’environnement, non créées ou produites par l’activité humaine : l’eau, l’air, la lumière du soleil, le sol… Parmi elles, les terres rares, composées de 17 métaux (cérium, scandium, terbium, etc.) utilisés dans la fabrication de produits de haute technologie (puces de smartphones, écrans, etc.). Leur extraction, en hausse avec le boom du numérique, provoque des rejets de produits toxiques, très polluants.

Référentiel français sur l’accessibilité numérique consistant à rendre les contenus/services numériques compréhensibles et utilisables par les personnes en situation de handicap.

Cadre réglementaire français visant à encadrer et promouvoir l’éco-conception des services numériques, en encourageant les entreprises et organisations à réduire l’impact environnemental de leurs solutions numériques à travers des pratiques responsables, depuis le développement jusqu’à l’utilisation des services.

Concept englobant l’ensemble des obligations, politiques, et pratiques qu’une entreprise doit mettre en œuvre pour assurer une utilisation responsable et sécurisée des technologies de l’information et de la communication (TIC).

Concept englobant l’ensemble des actions et des engagements pris par une entreprise pour contribuer de manière positive à la société et à l’environnement, tout en poursuivant ses objectifs économiques. La RSE implique que les entreprises prennent en compte les préoccupations sociales, environnementales et éthiques dans leurs activités et leurs décisions.

Logiciel informatique accessible via Internet, sans avoir besoin de l’installer en local sur un ordinateur. Plutôt que d’acheter et d’installer un logiciel, vous payez un abonnement pour utiliser l’application en ligne. Les fournisseurs SaaS s’occupent de la maintenance technique, des mises à jour, et de la sécurité, ce qui simplifie l’utilisation des logiciels pour les utilisateurs.

Les émissions de gaz à effet de serre (GES) d’une organisation sont classées en trois catégories distinctes :

Scope 1 regroupe les émissions directes provenant des sources contrôlées par l’organisation, telles que la combustion de combustibles fossiles dans ses équipements fixes ou mobiles, incluant le chauffage des locaux et les véhicules de service.

Scope 2 comprend les émissions indirectes liées à la consommation d’énergie achetée (électricité, chaleur, vapeur, refroidissement) générées en dehors des installations de l’organisation.

Scope 3 englobe toutes les autres émissions indirectes issues de la chaîne de valeur et des activités connexes (fournisseurs, déplacements, achats, gestion des déchets), et son reporting est obligatoire pour les entreprises de plus de 500 salariés.

Mécanisme d’authentification qui permet à un utilisateur de se connecter à plusieurs applications ou services avec un seul ensemble d’identifiants (nom d’utilisateur et mot de passe). Au lieu de se souvenir de multiples combinaisons d’identifiants pour chaque service, l’utilisateur n’a qu’à fournir ses informations d’identification une fois, et le système SSO lui donne accès à tous les services associés sans avoir à se reconnecter.

Ensemble des technologies utilisées pour manipuler et communiquer l’information. Cela englobe un large éventail de technologies, notamment les ordinateurs, les logiciels, les réseaux, les systèmes de communication, les dispositifs mobiles, et d’autres infrastructures associées.